Les étapes :
- Dos à l’église Saint-Martin d’Elleville, partir sur la droite, remonter jusqu’au chemin de la Chapelle sur votre droite. A l’intersection, tourner à droite et poursuivre tout droit pour accéder au chemin de Saint-Corentin. Au carrefour, poursuivre tout droit, puis franchir le «STOP» et passer devant la place d’Elleville.
- En arrivant au hameau d’Elleville dans le virage, prendre le chemin de terre à droite, le chemin de Saint-Prix. Traverser la route pour continuer. A la fourche, prendre à droite. Au carrefour suivant, tourner à droite. Traverser la route et poursuivre en ayant le clocher de Saint-Martin d’Elleville face à vous. Au croisement, tourner à gauche puis, à l’intersection suivante, à droite. Arrivé à la route St Martin-des-Champs – Osmoy, prendre à gauche avec prudence sur environ 200 m.
- A la Tuilerie, prendre, sur la droite, le chemin du même nom qui passe entre les bâtiments agricoles et poursuivre tout droit jusqu’au bout de cette ligne droite. A l’intersection, tourner à droite en sous-bois. Poursuivre tout droit, passer un courant d’eau qui traverse le chemin, et 100 m après prendre à droite, à la sortie du bois, pour atteindre l’angle du bois qui se trouve en face. Au terme d’un nouveau passage en sousbois, prendre sur la droite le chemin qui devient route goudronnée, bordée, à droite, d’un long et haut mur.
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Admirer au passage le château de Corbeville, puis la pompe Dragor après le virage. Tourner à gauche. Prendre la première rue à droite, le chemin du Collège jusqu’au croisement où se
trouvent quatre magnifiques tilleuls. Prendre le chemin à droite puis la route à gauche. Tourner à droite dans le chemin des Longs Champs. Au croisement avec la rue du Prieuré, admirer une autre pompe Dragor face à vous. Poursuivre à gauche pour revenir vers l’église Saint-Martin d’Elleville.
Les points d'intérêts : Les pompes Dragor :
Créées par Henri LEGOU au Mans en 1919 qui, la même année, fonde les Ets. DRAGOR & ALMA (DRAGOR –pompe à godets et ALMA – pompe à air comprimé). Les pompes DRAGOR étaient installées sur l’emplacement des puits ou des pompes à bras car bien moins fatigantes et, elles permettaient d’atteindre des profondeurs de plusieurs dizaines de mètres. Leur mise en mouvement était assurée par une manivelle avec en plus, parfois, une roue à l’opposé. Malheureusement, aujourd’hui, peu de pompes ont conservé leur roue mais certaines ont encore leur
manivelle. Elles sont constituées d’une bande sur laquelle sont fixés des godets entraînés par une poulie actionnée par la manivelle. L’extrémité du tuyau se termine par une tête de lion. On en trouve dans de nombreux départements français mais aussi en Algérie et au Tchad.
Accès
Parking :
Oui